7 novembre, Labastide du Vert

17 participants (es) dont notre guide Marie Hélène pour la découverte de sentes secrètes entre Labastide du vert, Poncirq et Les Junies, la parité étant un vœu pieux puisque nous n’étions que 4 représentants du sexe prétendu « fort ».

Départ sous un ciel couvert et par une température presque hivernale (0°) pour une randonnée de 9 km avec un dénivelé positif de 250 m, entre les altitudes de 115 m et 273 m.

D’entrée, après avoir traversé le Vert nous nous heurtons à la principale difficulté du circuit : une montée progressive éclairée par quelques timides rayons de soleil, entre le Travers de Guilhem à l’est et le Pech de l’Eglise à l’ouest, puis nous passons au lieu-dit « Les Combelles » près du rendez-vous des chasseurs de Labastide que notre guide avait eu la précaution de prévenir de notre passage.

Ignorant la concentration de 4x4 de ces « gilets orange » nous poursuivons, cap au nord en direction du Causse de Cluzel, hameau de la commune de Pontcirq, par un petit chemin bordé de murets en pierre sèche, admirant au passage une gariotte caractéristique, jusqu’à la départementale 50.

De là, nous obliquons plein ouest vers le bois de l’Azé, improvisons une pause-café après avoir visité une curieuse gariotte moussue, puis par des sentes secrètes, nous cheminons plein ouest, retraversons la D50 et après une légère descente, arrivons dans les faubourgs de Sals, hameau si cher à Nicole et Bernard, non sans avoir au préalable rencontre deux magnifiques percherons.

Enfin, nous entreprenons la descente, qui par un sentier herbeux suivi d’une route asphaltée nous conduit à Labastide, villégiature du peintre Henri Martin, ou notre arrivée coïncide avec les douze coups de midi.

Très belle randonnée sur des sentiers peu connus et dans un environnement protégé, merci Marie Hélène pour cette découverte et à bientôt pour d’autres aventures.